Dans un contexte marqué par l’engagement des acteurs politiques et la sensibilisation des grands électeurs, les cadres du grand parti Unir ont tenu une rencontre stratégique avec les grands électeurs de la préfecture de l’Akébou.
Sous limpulsion des honorables Dianti Améyo M’BOMA et GNATSE Kodjo, cette ultime réunion a permis de dresser le bilan des actions menées sur le terrain et de consolider les engagements en faveur d’un vote massif en faveur des candidats de la liste UNIR. Pendant plusieurs jours, les responsables du parti ont parcouru la préfecture, multipliant les échanges avec les acteurs locaux et expliquant les enjeux de ces élections sénatoriales historiques.
Les intervenants ont insisté sur le rôle essentiel du Sénat dans l’architecture institutionnelle du pays, notamment dans le processus d’élaboration des lois et dans le renforcement de la démocratie togolaise sous la vision du Chef de l’État, SEM Faure Essozimna Gnassingbé.
Au-delà de la simple clôture de la campagne, cette rencontre a été marquée par un message fort adressé aux grands électeurs de la circonscription. Les militants et sympathisants de l’UNIR Akébou ont lancé un appel solennel en faveur d’un vote responsable et stratégique.
Ils ont exhorté les grands électeurs à accorder leur confiance aux candidats de la liste UNIR, un choix qui, selon eux, garantira non seulement la continuité des efforts de développement engagés, mais aussi une gouvernance locale axée sur la durabilité et l’inclusion sociale.
L’enthousiasme et la détermination étaient palpables lors de cette dernière rencontre. La base UNIR Akébou, unie et mobilisée, a réaffirmé son engagement en faveur du parti et de ses idéaux. Le mot d’ordre est clair : assurer une victoire écrasante le 15 février prochain, dans un esprit d’unité, de paix et de développement harmonieux pour l’Akébou et pour tout le Togo.
Ainsi s’achève une campagne menée avec rigueur et détermination, laissant place aux urnes, où les grands électeurs auront la responsabilité d’écrire une nouvelle page de l’histoire institutionnelle du pays.
Jean-Marc Ashraf
